Ce qui reste de la nuit
Juin 1897. Le jeune Constantin Cavafy passe trois jours à Paris avec son frère. En son for intérieur, il mûrit une oeuvre littéraire mais les entraves personnelles sont nombreuses : sa poésie est encore incertaine, le carcan de la rime le corsète, son homosexualité le tourmente, et la tyrannique affection que lui témoigne sa mère l’empêche de se réaliser. Sans compter la faillite familiale qui l’humilie depuis son enfance. Ces trois jours seront la pierre de touche, le catalyseur décisif pour la vie et l’oeuvre du grand poète alexandrin.Des pages limpides et passionnantes. Une prose fluide et musicale. Une exaltante invitation au voyage. Une épopée intime et intemporelle. Florence Noiville, Le Monde des livres.Traduit du grec par Gilles Decorvet (avec la participation de l’auteur
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25/04/2019