Amer fanzine #1
Pour celles et ceux qui (nous) suivent, nous annoncions dans le n°7 de la revue finissante que l’opus suivant serait consacré à la traduction. Entre temps nous nous sommes mis à poil (Amer #8 sur le nu, toujours disponible), ce qui nous a décidé à revenir l’espace de quelques numéros à nos racines, le fanzinat, que nous n’avions d’ailleurs jamais vraiment quittées. Vous ne suivez déjà plus ? Pas grave.
C’est juste pour dire que cette première version fanzine d’Amer, intitulé Langue 1, a pour thématique plus ou moins générale la traduction. Aussi profitons-nous de l’occasion pour glisser que nous cherchons des traducteurs et traductrices non professionnelles enclins à bosser (pour pas un rond, ou pour la gloire) sur des traductions de textes vers le français et de textes français en d’autres langues. Textes plus ou moins littéraires voire pas du tout.
Vous trouverez dans cette première déclinaison fanzineuse et vite torchée de la revue finissante, une traduction inédite du premier chapitre d’un roman espingouin des années trente, un voceru corse à travers la langue fleurie d’un enfilanthrope fin-de-race, de la maçonnerie ruskof 1900, un entretien autour de la traduction du groupe punk ricain nofx, des autoportraits languissants en version plus argentique qu’argentine, l’autobiographie américano-russe traduite en français de celui qu’on a surnommé l’Oscar Wilde de Saint-Pétersbourg, un entretien à voix haute autour de l’audiodescription en Belgique, une belle version latine de ce que serait un poème, un précis d’ortografe chatnoiresque et pour finir – ou pour commencer -, les danses viennoises du vice, de l’horreur et de l’extase d’un couple décadent.
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édito :
Pour celles et ceux qui (nous) suivent, nous annoncions dans le n°7 de la revue finissante que l’opus suivant serait consacré à la traduction. Entre temps nous nous sommes mis à poil, ce qui nous a décidé à revenir l’espace de quelques numéros à nos racines, le fanzinat, que nous n’avions d’ailleurs jamais vraiment quittées. Vous ne suivez déjà plus ? Pas grave. C’est juste pour dire que cette première version fanzine d’Amer, intitulé Langue 1, a pour thématique plus ou moins générale la traduction.
Aussi profitons-nous de l’occasion pour glisser que nous cherchons des traducteurs et traductrices non professionnelles enclins à bosser (pour pas un rond, ou pour la gloire) sur des traductions de textes vers le français et de textes français en d’autres langues. Textes plus ou moins littéraires voire pas du tout. Nous cherchons également à découvrir auteurs, autrices, poètes, poètesses, égarées ou révolutionnaires de la fin du dix-neuvième siècle jusqu’aux années trente, dans toutes les langues possibles et imaginables. Ou des textes, articles et infos s’y rapportant ou traitant des différentes pratiques de la langue. Dans l’esprit de la revue, il va sans dire, mais nous le disons quand même.
Vous trouverez dans cette première déclinaison fanzineuse et vite torchée de la revue finissante, une traduction inédite du premier chapitre d’un roman espingouin des années trente, un voceru corse à travers la langue fleurie d’un enfilanthrope fin-de-race, de la maçonnerie ruskof 1900, un entretien autour de la traduction du groupe punk ricain nofx, des autoportraits languissants en version non pas argentique mais argentine, l’autobiographie américano-russe traduite en français de celui qu’on a surnommé l’Oscar Wilde de Saint-Pétersbourg, un entretien à voix haute autour de l’audiodescription en Belgique, une belle version latine de ce que serait un poème, un précis d’ortografe chatnoiresque et pour finir – ou pour commencer -, les danses viennoises du vice, de l’horreur et de l’extase d’un couple décadent. Si vous n’embrassez avec plaisir aucun de ces sujets, ou que vous avez le palais trop délicat pour perdre votre salive à tourner ces quelques pages, bah tracez votre chemin. On ne vous retient pas. Le prochain numéro, qui paraîtra cet automne, sera peut-êrre plus à votre goût. Ou pas. Pour l’heure, nous remettons notre langue dans notre poche, ce qui est fort inconvenant, nous en convenons. Et embrassons ceusses qu’on embrasse comme nous remercions LMG (pour la couv’).