Les âmes d'Atala

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Guiff eud brank au Klub

Avec Dj Berlin et Léa… à Fives !

1/04/2022 - Commenter

Aimer, c’est écrire et vice versa

Violette Leduc voulait écrire, au féminin, la sexualité sans fards ni masques ni ombres, afin de restituer le ressenti sensuel et sexuel éprouvé dans l’amour physique. Comme son ami Jean Genêt, mais en partant de son expérience de jeune fille lesbienne, de femme bisexuelle. Malgré la censure de ses éditeurs, contre ses propres doutes et la tentation de l’autocensure, elle a passionnément poursuivi ce projet audacieux. Catherine Viollet en retrace ici le processus contrarié, déchiffre les « manuscrits millefeuilles » de l’écrivaine – son œuvre palimpseste maintes fois reprise, remaniée, amputée.

Avec un inédit de Violette Leduc, « Une soirée au Fétiche », qui est un précieux témoignage sur le monde lesbien de l’entre-deux guerres.

1/04/2022 - Commenter

Ratur au CCl !

Jeudi 31 mars à partir de 19h au CCL en soutien à la CNT avec Krav Boca…

28/03/2022 - Commenter

Comment parvenir à tout rater ?

On se pose jamais la question. Peut-être parce qu’on a la réponse…

Chez l’Arbre Vengeur sinon :

Dans la merveilleuse traduction du “Prince des humoristes”, Gabriel de Lautrec, voici presque dix contes du précurseur de l’humour américain, celui qui a inventé un ton, un style, donné ses lettres de noblesse à la langue populaire, Mark Twain, génie pince sans rire qui nous fait rire plus de cent ans après sa mort.
“Enfiler des détails incongrus et absurdes sans but, et ne pas avoir l’air de s’apercevoir que ce sont des absurdités, telle est la base de l’art américain”, écrivait-il, telle est sa base surtout lui qui enchaîne avec une vivacité primesautière les histoires les plus burlesques sur le ton le plus sérieux. La vie est exaspérante, c’est une bonne raison d’en rire. L’échec est bien plus garanti que le succès, autant s’en gausser, pour se hausser…

28/03/2022 - Commenter

Eau vive

26/03/2022 - Commenter

Nique la bassine !

Puisqu’on nous le demande, non, nous ne serons pas à Rochénard, dans les Deux-Sèvres, du 25 mars 2022 au 27 mars 2022, mais Amer neuvième du nom circule déjà là-bas de poche en poche, de sac en sac nous dit-on…

26/03/2022 - Commenter

26/03/2022 - Commenter

Lovecraft au cinéma (Nova évidemment)

Howard Phillips Lovecraft (1890-1937) est l’un des principaux représentants de la littérature fantastique, de science-fiction et d’horreur du XXe siècle. Écrivain prolifique, doté d’une imagination étrange et souvent onirique, Lovecraft est connu pour être l’initiateur du terme « horreur cosmique » et pour avoir développé la philosophie particulière du « cosmisme », dont le thème principal est l’insignifiance de l’humanité. En 1927, il déclarait : « La peur est la première et la plus puissante des émotions humaines. La plus puissante de toutes est la peur de l’inconnu ». Dans ses récits, ses protagonistes sont terrifiés lorsqu’ils comprennent qu’ils n’ont absolument aucun pouvoir de modifier l’univers qui les entoure. Un univers incompréhensible et indifférent à leur sort. Le concept de « cosmisme » chez Lovecraft est le résultat de son mépris pour les religions conventionnelles, de sa fascination pour le paganisme et de son sentiment existentiel d’une humanité impuissante face à l’immensité et au vide cosmiques. Dans sa mythologie, le cosmos et ses dimensions parallèles sont peuplés d’innombrables êtres extraterrestres anciens et puissants, vénérés comme des dieux. Ce monde de fiction étendu et décrit avec force détails – connu des lecteurs sous le terme de « Mythe de Cthulhu »- est le fil conducteur de l’œuvre de Lovecraft.
Progressivement, le « Mythe de Cthulhu » a étendu ses tentacules vers d’autres médias, tels que les jeux, les mangas et le cinéma – même si Lovecraft n’a pas toujours été l’écrivain le plus facile à transposer au grand écran, la difficulté résidant dans la tâche de représenter visuellement l’indéfinissable. L’univers de Lovecraft a néanmoins souvent été une source d’inspiration pour de nombreux réalisateurs, à tel point que l’horreur lovecraftienne est devenue un genre cinématographique à part entière. Depuis le succès du film « Color Out of Space » et de la série HBO « Lovecraft Country », l’œuvre de Lovecraft semble connaître un renouveau plus grand public. Il est donc grand temps de composer un programme avec deux courts et six longs métrages lovecraftiens : adaptations, transpositions plus ou moins fidèles ou films inspirés de son œuvre et de ses thématiques.

 

Film

Spring

Justin Benson & Aaron Moorhead, 2014, US, DCP, vo ang 109′

« L’amour est un monstre », prévient la tagline. Un jeune américain réfugié dans le sud de l’Italie rencontre une « créature de rêve » qui devient son âme sœur (malgré ses tentacules). Le duo Benson & Moorhead (« The Endless », « Synchronic ») prouve que Lovecraft et romance ne sont pas incompatibles, dans une sorte de version gore et cosmique de « Splash ».

19.03 > 21:30

6€ / 4€

 

Film

The Dunwich horror

Daniel Haller, 1970, US, 35mm, vo ang 90′

LSD, effets psychédéliques, orgies mystiques et chaos cosmique sont au programme de cette adaptation libre de la nouvelle « L’Abomination de Dunwich », produite par Roger Corman et écrite par le débutant Curtis Hanson. Le regretté Dean Stockwell joue le rôle d’un inquiétant occultiste à la recherche du « Necronomicon » qui croise le chemin d’une étudiante vierge (Sandra Dee), qui ne le restera peut-être plus très longtemps.

20.03 > 21:30

6€ / 4€

 

Film + rencontre

Dagon

Stuart Gordon, 2001, ES, DCP, ang st fr, 98′

Un couple américain se retrouve naufragé sur une île dont les villageois idolâtrent un dieu ancien qui exige des sacrifices et des femmes humaines pour se reproduire.
Pour sa troisième incursion dans l’univers de Lovecraft, Gordon (disparu il y a deux ans) enfonce le clou du cercueil des adaptations au cinéma de Lovecraft – car comment adapter « l’Indicible » au cinéma ? Stuart Gordon s’en fout, et adapte littéralement un mix de nouvelles marquantes de Lovecraft (dont le cauchemar d’Innsmouth) pour tenter de saisir la mystique noire, et la mythologie extra-terrestre du maitre de Providence. Force est de constater que le film restitue étrangement bien l’ambiance poisseuse de ce village maritime habité de menaçant habitants. Une adaptation douteuse de Lovecraft peux faire un bon film – ce qui en dit long sur le degré de suggestion de l’auteur… Les connaisseurs de Lovecraft se retrouveront en ce film comme dans un endroit familier, les autres y verront un film fantastique étrange, à l’inspiration retorse et cruelle, de celles que l’on écrit pas un soir sur un coin de comptoir. Les muses, le gout des images fortes – et l’érotisme frontal de Stuart Gordon achèveront peut-être de conquérir le spectateur perdu !

+ An Eldritch Place

Julien Jauniaux, 2016, BE, DCP, vo fr st ang, 17′

En présence du réalisateur

24.03 > 21:30  

6€ / 4€

 

Film

Absentia

Mike Flanagan, 2011, US, DCP, vo ang 87′

Dans l’excellent premier film, mélancolique et terrifiant, de Mike Flanagan (« Doctor Sleep », « Gerald’s Game »), qui cartonne actuellement sur Netflix avec ses mini-séries (« The Haunting of Hill House », « Sermons de Minuit »), le surnaturel s’invite dans la vie d’une femme enceinte dont le mari, disparu depuis 7 ans, réapparait subitement, tandis que sa sœur toxico est effrayée par un individu croisé dans un tunnel.

26.03 > 17:00

6€ / 4€

 

Film + rencontre

In the mouth of madness

John Carpenter, 1994, US, 35mm, ang st fr & nl, 95′

John Carpenter convoque l’esprit de Lovecraft pour une enquête surnaturelle mettant en scène Sam Neill dans la peau d’un détective privé chargé de retrouver Sutter Cane, un romancier d’horreur disparu. Son enquête le mène en Nouvelle-Angleterre, dans une ville qui ne figure sur aucune carte, où la folie et l’apparition de créatures lovecraftiennes vont peu à peu se substituer à la réalité.
Avec sa mise en abime et ses créateurs maudits – aspect négligé mais central des transpositions cinématographiques de Lovecraft, Carpenter est peut-être le seul à avoir relevé le défi d’adapter dignement l’auteur de l’indicible au cinéma – et de surcroit sans le nommer. Carpenter avait depuis longtemps des atomes crochus avec le maitre de Providence, comme en témoigne par exemple The Thing. « In the mouth of madness » est le 13ème long-métrage du maitre de l’horreur donnant ici le meilleur de lui même avec son coté rock n’roll (quel générique !). Une vision Lovecraftienne sobre et suggestive comme Big John sait le faire, tournant les phénomènes de masse en folie métaphysique capable de précipiter la fin de l’humanité, et de la réalité que nous connaissons…Yeah !

+ Family Matters

Steve de Roover, 2019, DE, DCP, ang 5′

Introduit par le réalisateur

26.03 > 19:00  

6€ / 4€

 

Film

Re-animator

Stuart Gordon, 1985, US, 35mm, vo ang 104′

 » Il se prenait pour Dieu… mais Dieu a horreur de la concurrence  ! », prévenait le poster. Pour son premier film, adaptation très libre de Herbert West, réanimateur, le regretté Stuart Gordon crée le chef d’œuvre de la comédie gore des années 80, ex-aequo avec Evil Dead 2. L’impayable Jeffrey Combs incarne cet étudiant en médecine obstiné à vaincre la mort, dont les expériences macabres vont provoquer des débordements aussi drôles que sanglants.
Si Lovecraft pouvait se lever de sa tombe, ce serai peut-être contre ce film ! L’indicible est ici remplacé par gore, sexe, et humour… Pas forcément les points saillants de son œuvre… Mais le mal est fait alors autant aller jusqu’au bout ! Chat mort-vivant, zombie acéphale et autres trépanations « in-vivo » repoussent joyeusement les limites de ce qui a été vu à l’écran – comme tout bon film devrait le faire – qui a déjà vu un cunnilingus pratiqué par une tète coupée vivante ? Stuart Gordon aura au moins prouvé sa fascination pour le maitre et contribué à le populariser…

26.03 > 21:30

6€ / 4€

26/03/2022 - Commenter

Toxic Waste 30 + 1

30+1 ANS DE TOXIC WASTE

24/03/2022 - Commenter

François Fournet

L’érotisme dans la littérature : Rencontres & Lectures : François Fournet sera l’un des invités de la table ronde du 24 mars prochain.
« J’aime bien les fluides, ça fait vrai. Quand le corps lâche les vannes. »
François Fournet est né en 1993 et habite Saint-Étienne. Il est écrivain et musicien et publie dans diverses revues. Son premier roman porno, Banlieues Chaudes, sort à la Musardine en 2019. Le second, L’incendiaire, dresse le portrait d’une jeunesse qui cherche à sentir la vie, et qui nous décrit un monde triste et ennuyeux où les luttes sont vaines et creuses.
En voici le résumé : Paris brûle-t-il ? Peut-être, mais dans ces rues livrées aux émeutes, c’est surtout Samy et Clara qui ont le feu au cul ! Le premier est un ex-étudiant cynique et séduisant, qui hésite entre se révolter et rentrer dans le rang, la seconde est une jeune nihiliste en quête de sensations extrêmes, prête à tout pour jouir un peu plus fort : ces deux-là étaient fait pour s’entendre et leur rencontre sera explosive !
Retrouvez une interview de l’auteur : https://blog.meshistoiresporno.com/…/lincendiaire…/
[On l’a pas lu…]
24/03/2022 - Commenter

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