Nu(e) comme un ver !
Caroline Crépiat écrit :
« Je suis le pauvre ver, le pauvre ver solitaire », chantait Vincent Hyspa au cabaret du Chat Noir. Remportant l’adhésion de ses pairs, Maurice Donnay compare le succès de ce dernier à une métamorphose : »Cette pièce d’un ver alla aux nues, comme un ver! ».
De quoi introduire mon article à paru dans la revue Amer sur le NU!
Et pour en savoir plus sur les vers chatnoiresques, qu’ils soient solitaires ou libres, courez lire mon article « Des petites maladies qu’on déguste dans Le Chat Noir », paru dans le précédent Amer, sur la Bouffe – Gastrosophie littéraire (2016), septième service en photo ci-dessus. »
Nous confirmons ! Toujours disponible !
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28/06/2018