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Jacques d’Adelswärd-Fersen

Certains en ont fait un oisif, un décadent, un « Éros aptère », comme l’écrivit Jean Cocteau. Jacques d’Adelswärd-Fersen (1880-1923) a sans conteste sa légende noire : les goûts hétérodoxes d’un jeune aristocrate trop riche. Une œuvre littéraire au parfum de scandale. Une affaire de mœurs impliquant des adolescents, qui le jette sur les routes de l’exil. Capri, le port d’attache où il finit par trouver refuge et se fait bâtir une demeure somptueuse, la Villa Lysis. Une jeunesse consumée dans le tourbillon des fêtes des années 1900. Sa passion de vingt ans pour Nino Cesarini. La création d’Akademos, première revue française à aborder ouvertement l’homosexualité, où écrivirent Colette, Maxime Gorki, Georges Eekhoud, Anatole France… Le culte de l’« opium immense », auquel il sacrifiera sa vie. Enfin, à quarante-trois ans à peine, le suicide… puis la résurrection dans L’Exilé de Capri, le roman que lui consacre, en 1959, Roger Peyrefitte. Mais pour comprendre Jacques d’Adelswärd, il faut conjurer ses mythes.
À travers photographies, lettres et archives familiales inédites, les auteurs de cet ouvrage reviennent sur la vie de celui qui fut avant tout un homme de lettres, et occupa une place singulière dans l’effervescence du Paris et du Capri de la Belle Époque.

 

Tous deux cousins du poète, Viveka Adelswärd, professeur émérite à l’université de Linköping (Suède), et Jacques Perot, historien et conservateur, portent ici un regard libre et précis sur la vie et l’œuvre de cet écrivain controversé.

« […] le portrait magnifique d’un des derniers dandys fin-de-siècle… »

Transfuge

Un commentaire pour “Jacques d’Adelswärd-Fersen”

  1. Chéri-Bibi 16 juin 2018 à 21:29

    Villa à Capri, opium, pédophilie… Pfff, on me la fait pas à moi : un vrai dandy fin-de-siècle a avant tout un short de boxe thaï !

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13/06/2018

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