Soliloques du Pauvre
Libre adaptation par le rappeur Vîrus des Soliloques du Pauvre de Jehan-Rictus.
Avec la participation de Jean-Claude Dreyfus. Au diable vauvert
Cent vingt ans après la première publication des Soliloques du Pauvre (1897), revoilà Rictus et ses duretés… Merde. Si la critique littéraire a délaissé Gabriel Randon, dit Jehan-Rictus (1867-1933), poète d’une langue populaire émaillée d’argot, une poignée de chanteurs, d’acteurs, d’éditeurs et d’amateurs n’ont jamais cessé de faire résonner sa voix singulière. Mais voici qu’aujourd’hui, c’est au tour d’un rappeur de faire ce que seul un rappeur était en mesure de faire : rendre à Rictus toute sa dureté. La force et la portée de ce geste inédit, qui bouscule l’espace-temps et l’idée que l’on peut se faire de la poésie et du rap, tiennent à ce qu’il ne s’agit pas d’une nouvelle interprétation, ni même d’une simple adaptation rappée de Rictus. Non, Vîrus incarne Rictus et accomplit l’écriture à haute voix de soliloques faits pour être dits.
Livre 80 pages + CD 8 titres comprenant :
– Les Soliloques du Pauvre (adaptés)
– Avant-propos de Vîrus
– Préface de Benoît Dufau
– Illustrations de La rouille
– Lettre de Jehan-Rictus à Léon Bloy
– Lexique, Notes et Crédits
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17/05/2017