La vie rêvée des plantes
Traduit du coréen par Choi Mikyung et Jean-Noël Juttet
Contraint d’espionner sa propre mère pour un mystérieux commanditaire, Kihyon est confronté à d’obscurs secrets de famille. Par tous les moyens, il tente de réparer les blessures du passé, entre une mère au comportement étrange, un père réfugié dans la culture des plantes et un grand frère adoré et haï, amputé des deux jambes à l’armée. La folle passion de Kihyon pour l’ancienne petite amie de son frère n’arrange en rien la situation.
Dès lors, sa confession, lourde de silence et de résignation, de culpabilité et d’espoir insensé, nous plonge dans les formes les plus crues et les plus élevées de l’amour. Comme dans le jeune cinéma coréen, l’audace narrative l’emporte ; on est pris à la gorge.
La vie rêvée des plantes est traduit pour la première fois en français.
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2/04/2016