Baudelaire antimoderne
L’Année Baudelaire, n°18-19, 2014-2015 : « Baudelaire antimoderne »
Numéro publié sous la direction d’Antoine Compagnon avec la collaboration de Matthieu Vernet
Présentation de l’éditeur :
Fondée en 1995 par Claude Pichois, L’Année Baudelaire rend compte de la recherche baudelairienne et s’ouvre aux nouvelles générations de commentateurs de Baudelaire.
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- Avant-propos d’Antoine Compagnon
- – Pourquoi Baudelaire ? Baudelaire au soleil du soir, par Yves Bonnefoy
- – Baudelaire et l’expérience de pensée, par Patrizia Lombardo
- – Baudelaire, une esthétique de l’existence, par Marielle Macé
- – Baudelaire et la musique : moderne ou antimoderne, par Pierre Brunel
- – Baudelaire photographe, par Jean-Christophe Bailly
- – Baudelaire dans les « ténèbres » du siècle des Lumières, par André Guyaux
- – L’ « austère filiation romantique »
- Le « Bazar Bonne-Nouvelle », par Pierre Laforgue
- – Baudelaire romantique et antiromantique, par Paolo Tortonese
- – De Baudelaire à Proust et inversement, par Matthieu Vernet
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- T-S Eliot et Baudelaire, par John E Jackson
- – Émile Benveniste et la modernité de Baudelaire, par Chloé Laplantine
- – « Tout est nombre », par Luca Pietromarchi
- – La temporalité baudelairienne, par Jean-Luc Steinmetz
- – Baudelaire, Paris et le « palimpseste » de la mémoire, par Patrick Labarthe
- – Prosodie et histoire, par Jérôme Thélot
- – Baudelaire et la peinture du banal, par Julien Zanetta
- – De la modernité du poète en prose, par Yoshikazu Nakaji
- – Modernité du vers, antimodernité de la prose, par Alain Vaillant.
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15/01/2016