L’Odeur du bombyx
nécrophilie, masturbation et littérature
Comme titre et sous-titre l’indiquent clairement, ce texte se fait un plaisir innommable de nous perdre parmi les cadavres déterrés et passionnément aimés par Gabrielle Wittkop parmi les pâtes vigoureusement branlées de feuilles à la forme.
Mots et phrases de ian geay accompagnés d’eaux fortes de eddy legrand et de pendus croqués par lmg-névroplasticienne.
Article à retrouver et accessoirement à lire au milieu de plein d’autres choses dans Quoique #3 [printemps 2015, cent-cinquante-six pages, 18×27 cm]
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8/08/2015