Lumières du bizarre
Littérature, 169 : « Lumières du bizarre », Larousse, 2013.
BRASART Patrick, WALD LASOWSKI Patrick
SETH Catriona
À la recherche du saint Prépuce
M. GOULEMOT Jean
Casanova : la curiosité en voyage
WALD LASOWSKI Patrick
De la bizarrerie dans le monde amoureux
PERRAS Jean-Alexandre
L’Autre du génie : valeurs et usages du bizarre
SERMAIN Jean-Paul
BRASART Patrick
Bonneville et le Cercle social, ou le bizarre en Révolution
DELMAS Marie-Laure
Diogène au quinquet : poétique de la Fantasmagorie
VAZQUEZ Lydia
Le monstre goyesque : figuration grotesque d’un imaginaire enfantin
DANTAL Didier
Le critique amateur. Esquisse de Pierre Lièvre
http://www.armand-colin.com/revues_num_info.php?idr=12&idnum=480615
Les Héros du peuple n°5 (1984)
Sport, genre et vulnérabilité au XXe siècle
Sport, genre et vulnérabilité au XXe siècle
Coordination éditoriale de Thierry Terret, Luc Robène, Pascal Charroin, Stéphane Héas, Philippe Liotard
Cet ouvrage est l’aboutissement d’une recherche de quatre ans menée par des spécialistes du sport et du genre. Une quarantaine d’historiens et de sociologues a été mise à contribution pour répondre à un appel d’offre émanant de l’Agence Nationale de la Recherche. Leur travail questionne le rôle des pratiques sportives dans le renforcement ou, au contraire, la réduction de la vulnérabilité et des atteintes à la santé associées aux populations dominées dans l’ordre du genre. Il interroge quatre configurations historiques où les articulations genre-santé-sport connaissent des infléchissements majeurs : la Première Guerre mondiale et l’immédiat après guerre, la Seconde Guerre mondiale et l’immédiat après guerre, les années avant et après 1968 ainsi que les années 2000. Les conclusions des auteurs invitent à la nuance: le sport, loin de la neutralité à laquelle il est fréquemment renvoyé, apparaît parfois comme un facteur d’émancipation, mais parfois aussi comme un accélérateur des processus de discrimination.
Grigori Raspoutine
UNE MAUVAISE RENCONTRE
couverture inédite dessinée par LMG .
Nous avons reçu beaucoup de bon échos depuis la parution, fin 2013, du petit recueil intitulé Une Mauvaise rencontre, rassemblant les nouvelles d’anarchie signées par le sémillant Georges Eekhoud. Parmi ceux-ci, la chronique très en verve du Moine bleu qui, la veille du réveillon de noël, nous offrit un bien bel article en comparant le très « rauque », finiséculaire et flamand Georges Eekhoud, à un punk des temps jadis, à un punk belge, qui plus est, ce qui, précise-t-il, ne gâte rien de son point de vue. La critique est élogieuse, érudite également, prolongeant fort doctement la présentation faite en ouverture par Mirande Lucien, ainsi que nos réflexions martialo-littéraires concernant la tendance marquée de notre anarchiste-voyoucrate à la préhension. Nous avons particulièrement apprécié lire ces belles lignes accolées à la chronique du dernier numéro de REST, ainsi que d’avoir vu rapprochée sous la plume de notre ami Moine, ici encore, la « lutte pour la lutte » eekhoudienne de la « conception homosexuelle du monde » présentée, en son temps, par le FHAR dans son Rapport contre la normalité (réédité dernièrement par les pionnières éditions Questions de genre/GKC). Pour alimenter la discussion, et ne rien laisser au doute et à l’approximation, nous conseillerons enfin à notre fidèle chroniqueur, ainsi qu’à tous ceux et toutes celles qui s’intéressent à la question de l’antisémitisme notamment finiséculaire, si tant est, vous avez raison, que cette précision ait un sens, notre préface à La Veillée de l’huissier de l’abominable et talentueux Edmond Picard, illustré à couteau tiré par la batailleuse LMG et édité scandaleusement par nos soins en 2011. Nous présentons parfois, contrairement à l’ecclésiaste, quelques faiblesses dans l’expression, mais n’en tolérons aucune dans nos convictions et la foi qui les accompagne. Quant au statut du kumi kata, cher Moine, nous aurons bien l’occasion d’en disserter ailleurs. Amicalement, pour sûr.
Signalons également à nos lecteurs et lectrices, une autre chronique de cœur, intitulée cette fois Une belle mauvaise rencontre, très douce à notre attention, signée Aurélie, sur le site Mymetro. Que toutes ces belles âmes soient remerciées. Comme il se doit. Dans le silence qui suit.
Bulletin de la Société Paul Claudel
Bulletin de la Société Paul Claudel. 2013 – 3, n° 211
Présentation de l’éditeur:
Le Bulletin de la Société Paul Claudel existe depuis 1958 et paraît tous les trois mois. Il publie des inédits et des études et rend fidèlement compte de l’actualité éditoriale et théâtrale claudélienne.