Bien.
La situation n’est pas complètement désespérée.
En premier lieu, il s’agit de se retourner rapidement, et d’éviter que le partenaire, debout pour l’instant, ne décide de s’asseoir, voire de se laisser tomber, ce qui serait quelque peu préjudiciable à la bonne tenue de la colonne vertébrale. Pour cela, pas d’autre choix que de monter d’abord en appui sur la tête, qu’on retournera ensuite prestement pour la placer dans l’axe du corps (lui-même à présent posé sur le dos) puis de pousser sur les bras, de manière à ressortir désormais, le plus vite possible, face au partenaire, entre ses jambes, avant de se redresser à la force des muscles abdominaux jusqu’à ses torse et visage. Reste bien entendu le problème de fond de l’emprisonnement des jambes, et de la double compression qui s’annonce, sur les mollets. Le mieux, outre de ramener vers soi la plante des pieds, pour contrecarrer l’effet de ladite compression et amoindrir la douleur, consisterait à venir franchement prendre l’adversaire en une manière de garde, et de passer soi-même à une compression de cuisses fortement appliquée sur les côtes flottantes. Puis, un mouvement régulier de va-et-vient devrait suffire à faire relâcher un peu la pression, les jambes glissant ensuite lentement le long des aisselles du partenaire.
Bien.
La situation n’est pas complètement désespérée.
En premier lieu, il s’agit de se retourner rapidement, et d’éviter que le partenaire, debout pour l’instant, ne décide de s’asseoir, voire de se laisser tomber, ce qui serait quelque peu préjudiciable à la bonne tenue de la colonne vertébrale. Pour cela, pas d’autre choix que de monter d’abord en appui sur la tête, qu’on retournera ensuite prestement pour la placer dans l’axe du corps (lui-même à présent posé sur le dos) puis de pousser sur les bras, de manière à ressortir désormais, le plus vite possible, face au partenaire, entre ses jambes, avant de se redresser à la force des muscles abdominaux jusqu’à ses torse et visage. Reste bien entendu le problème de fond de l’emprisonnement des jambes, et de la double compression qui s’annonce, sur les mollets. Le mieux, outre de ramener vers soi la plante des pieds, pour contrecarrer l’effet de ladite compression et amoindrir la douleur, consisterait à venir franchement prendre l’adversaire en une manière de garde, et de passer soi-même à une compression de cuisses fortement appliquée sur les côtes flottantes. Puis, un mouvement régulier de va-et-vient devrait suffire à faire relâcher un peu la pression, les jambes glissant ensuite lentement le long des aisselles du partenaire.
ah ! l’espoir !