Canopées abyssales
Se retrouver perdu en compagnie de Laurent Diox au fin fond d’une forêt ou au cœur des abysses bleuandres d’une abbaye complice et amie est une expérience indicible, aussi n’en dirons-nous davantage.
Mais ce n’est pas sans une certaine reconnaissance. De celle qui prélude au geste.
Un commentaire pour “Canopées abyssales”
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8/12/2012
Bien ! C’est ce qu’il me fallait, le conseil de m’accrocher à ton énorme nageoire dorsale (hihihi), car je dois avouer que je n’avais pas réussi à dépasser le premier paragraphe de «Toujours, toujours, toujours»..
Je m’en vais donc me laisser entraîner un peu dans des eaux plus profondes.