Nous sommes nés trop tard
Sortie du nouvel opus de Paris Violence :
Nous sommes nés trop tard
http://paris.violence.free.fr/
Extrait du précédent album « En attendant l’apocalypse »
Les décadents.
05-paris-violence-les-decadents
Petit jeu entre ami-es
LE JOURNAL D’UNE FEMME DE CHAMBRE
Retrouver dans les couvertures suivantes l’édition américaine, néerlandaise, canadienne, allemande, croate, vietnamienne, polonaise, espagnole, japonaise, russe, autrichienne et turque du roman d’Octave Mirbeau…
Retrouvez de nombreuses autres couvertures et préfaces sur le blog de Pierre Michel : http://michelmirbeau.blogspot.com/
Immanité
Immanité, nom féminin
[du latin manis, doux]
Cruauté monstrueuse.
L’immanité de Néron est restée célèbre.
Mirbeau et les bo-bos.
Loustal, Le Journal d’une femme de chambre
Monsieur le trésorier de la Société Mirbeauphile,
Je jure par la présente que je vais régler ma cotisation 2008 parce qu’il n’est jamais trop tard pour bien faire. Et puis j’ai une excuse. Vous n’aurez qu’à jetez un oeil ou deux sur la deuxième mouture de l’Amer pour vous rendre compte qu’à défaut d’être en règle je n’ai pas trahi notre Cause. Je sais que de votre côté, vous avez beaucoup oeuvré et que les phynances s’en ressentent. Mais puisque notre beau quartier est devenu depuis quelques temps un joyeux repaire d’heureux donateurs, laissez-moi le temps du week end pour délestez une ou deux de ces crapules, et je vous reverserai ma cotisation. Juré craché.
Zamda !
Du côté de l'Alamblog
Rien ne va plus ! Qu’est-ce qui nous prend de relayer les propos d’un préfet ? Et d’ajouter que sa parole est amie ! Certes, il est maritime, mais avouons que c’est un peu fort. Un coup à se prendre une balle dans la jambe nous chantonne à l’oreille l’ami rital. Pourtant nous insistons, persistons et signons : longue vie au préfet maritime ! Au risque de rayer le parquet. Il restera toujours nos poings… Foi de berger corse !Une chronique d’Amer #1 :
« Sur la vague décadente d’une autre siècle, Amer, revue finissante démarre le nez au vent. Vous avez bien lu : Amer démarre finissante, et c’est un bon point que la lucidité, puisque le destin de toute revue, et cela contribue au charme de ces publications élaborées dans le secret d’esprit curieux, est de disparaître de la vue, des étals, des lieux publics — contrairement aux dictionnaires et encyclopédies qui s’y étalent, ces fats ! — en des délais incertainement fixés (certaines se survivent durant des décennies, d’autres capotent au premier envol, c’est toute la magie des revues).
Lu sur la toile
Eva Gonzales : ” Le Petit Lever “
Même les magistrats commencent à s’en émouvoir. La condition des domestiques, en France, demeure une anomalie dans notre pays républicain. Ils sont un million environ. Dépendants du bon vouloir du maître ou de la maîtresse, dans l’attente du coup de sonnette qui les soumet, 16 heures par jour, aux caprices d’un autre. Lire la suite »
Viviane n°1
Viviane n°1
Publication du premier numéro de Viviane, revue qui a pour vocation de recueillir les travaux menés dans le champ littéraire -au sens le plus large du terme- par les membres de l’Equipe d’accueil « Héritages & Constructions dans le Texte et l’Image » (Université de Bretagne Occidentale, faculté des Lettres et Sciences humaines Victor Segalen) Lire la suite »
Domesticisme [7]
CATASTROPHISME,
ADMINISTRATION DU DESASTRE
ET SOUMISSION DURABLE
« Dans les discours du catastrophisme scientifique, on perçoit distinctement une même délectation à nous détailler les contraintes implacables qui pèsent désormais sur notre survie. Les techniciens de l’administration des choses se bousculent pour annoncer triomphalement la mauvaise nouvelle, celle qui rend enfin oiseuse toute dispute sur le gouvernement des hommes. Le catastrophisme d’Etat n’est très ouvertement qu’une inlassable propagande pour la survie planifiée -c’est-à-dire pour une version plus autoritairement administrée de ce qui existe. Ses experts n’ont au fond, après tant de bilans chiffrés et de calculs d’échéances, qu’une seule chose à dire : c’est que l’immensité des enjeux (des « défis ») et l’urgence des mesures à prendre frappent d’inanité l’idée qu’on pourrait ne serait-ce qu’alléger le poids des contraintes sociales, devenues si naturelles. »
René Riesel, Jaime Semprun
Un volume 14x 22 cm, 136 pages. Prix : 10 euros
isbn : 987-2-910386-28-3
Parution Juin 2008
Editions de l’encyclopédie des nuisances
80 rue de Ménilmontant, 75020 Paris.