Amer neuf, bientôt dans vos pognes
Photo Pole Ka
Les revues arrivent, alors nous vous en disons un peu plus sur le contenu en vous dévoilant un entretien, un article et une nouvelle parmi le tsunami des lectures proposées.
Une nouvelle, enfin : un texte peu connu d’un anarchiste italien qui ne l’est guère resté, Gigi Damiani. Disons que ce dialogue surprenant devrait être un baptême pour certains et certaines d’entre vous. Amen.
Pour information, ceci n’est pas la couverture du prochain Amer. Vous la découvrirez à parution… C’est néanmoins un bon indice sur qui l’a réalisée…
Dans le prochain numéro, sans rien vous dévoiler du sommaire pour garder la surprise, vous trouverez :
– 5 entretiens plus ou moins longs et 17 courts
– quelque chose comme 102 questions posées et à peu près autant de réponses
– 10 nouvelles contemporaines ou délicieusement surannées
– 4 textes inclassables
– 4 articles coruscants
– 132 notes minutieuses
– plusieurs dizaines de chroniques aiguisées
– 184 images et illustrations irrigantes
– 3 port folio michto
– 8 images hautes en couleur
– c’est-à-dire en tout, 480 pages marécageuses
– ce qui représente 660 kilos de papier soit environ 330000 litres d’eaux utilisées (bah ouais…)
En vrac, les thèmes brassés, parfois à peine abordés ou tout juste évoqués sont la natation, la réanimation, la laparotomie, la noyade, les insurrections, Jean-Pierre Brisset, le sida, l’identité, les chiottes, Jack l’éventreur, la oi!, les poussés de la Deûle, les goélands, Sade, la planche, Stevenson, les vespasiennes, le racisme, l’écriture, le viol, la montagne, Jack London, les rivières, les fleuves, les mers, les ours, Géno, le bain, la fumée de tabac, Yellowstone, la littérature algérienne, la cyprine, les sources, John Muir, la société des grands fonds, le vrai, la littérature africaine, la pluie, l’écologie, le commerce maritime, Robert Caze, le désir, les limericks, la traduction, le féminisme, la photographie, Elisée Reclus, le droit maritime, le sauvetage en mer, la poésie, le punk des années 80, la foi, Virginia Woolf, l’anarchie, le sambo, la chasse, les fanzines, Pete Fromm, la prière, les migrations, le capitalisme, Gaston Bachelard, le cinéma de genre, la littérature américaine, Rachilde, la randonnée, les amérindiens, la piscine, les sirènes, la cancel culture, le déboulonnage, l’église catholique, l’Aquarius, l’islam, la mort, le tourisme littéraire, la psychiatrie, Gilbert Cardon, le duel, le Hirak, le sexe, les maîtres-nageurs et beaucoup d’autres choses tout aussi humides.
Les pré-commandes, c’est ICI !
Et voici le deuxième épisode de l’émission du Cabaret du Cœur Fendu. Retrouvez Simone Little Bird et Lou Kick dans de nouvelles aventures…
Dans le Amer, huitième du nom, consacré au nu, les aquarelles de Simone sont toujours hautes en couleur, et Lou Kick, une fille modèle.
Notez qu’elles ne sont pas non plus absentes du Amer sonore.
Ce mercredi 30 décembre 2020 à 20h30 c’est la Distro-lapinothèque dans la Radio ! Rediffusion le vendredi 1er janvier 2021 à 21h
Et voilà la der des der avant la fin et le crépuscule de la suivante ! Au programme de cette émission, on vous pésentera numéro hors série de la fameuse revue finissante: AMER, avec quelques anciennes histoires sordides, pour petits zé grands, régalez-vous ! On poursuivra avec la présentation de « Dirty Week-end » premier roman de l’autrice: Helen Zahavi dans la veine rapt and revenge féministe, il y a du dézinguage dans l’air. Puis bien entendant il y aura quelques demi surprises musicales de circonstance, avec le titre inédit » Couvre face » de Esgibt-Trunchéon-and La Marmite,OMS, sans oublier quelques clins d’ yeux étoilés avec nos amis les Binamé et leur : « Pas boum de Noël ».
Bonne écoute veille raclure et à bientôt !
Titi
La Distro-lapinothèque, c’est de la diffusion futile, des revues, des brochures, des livres, des vinyles, des lance-pierres, du rouge à lèvres anti-bolchévick, du pilipili pour les cheveux indomptables, du bon vieux punk qui fait mal aux orteils, de la grande littérature à vomir debout, des lances anti-toux foudroyantes et de la mauvaise humeur comme il se doit. Tout ce grand trafic se fait sous le manteau, dans la pénombre et le désordre des lieux malfamés de la société du spectacle.
Un peu comme la messe mais là c’est chaque dernier mercredi du mois. On vous partage sur les ondes de Radio Air Libre (dans l’émission Tranche d’Anar) nos trouvailles, des textes, des livres, des skeuds (notamment du label AREDJE, nom de dieu ! Mais pas que…)
On cause aussi des concerts et autres moments dits moins festifs ! Pour paraphraser ce cher Michel Bakounine « La révolution sociale aura la puissance de fermer en même temps tous les cabarets et toutes les églises ». Mais en attendant la fin, cabarets partout, police nulle part ! Puis on vous dit où vous pouvez nous trouver, pour taper la discute ou nous chaparder un livre, ou pour une dispute bien méritée. Si vous ratez le rendez-vous parce que vous avez coupé la radio au lieu de couper la tête à tout ce qui vous enchaîne… et si comme le lapin d’Alice au pays des zig-ooii vous n’avez pas le temps ; vous pouvez toujours ré-écouter le podcast sur le blog des ex-Lapins électriques !
Avec ton poste radio analogique à Bruxelles sur le 87.7 FM
Écoutable depuis ton vieil ordi :https://radioairlibre.net/
Pocasts et autres infos distro: leslapinselectriques.blogspot.com/
Les âmes d’Atala, et sa division sonore LADA sont heureuses de vous annoncer de nouveau la sortie plus tout à fait tonitruante du premier numéro de la revue finissante et sonore. L’ensemble du dernier numéro d’Amer, sur le nu, a été mis en son, soient 29 pistes enregistrées au format WAV, c’est-à-dire 6 heures 48 minutes et 54 secondes de lectures, musiques, bruits et silences assourdissants. Le tout tient sur une clé de 4 giga. Le résultat est à la hauteur de nos négligences et lacunes, mais il est là.
Nous avons tenté dans ce numéro un peu spécial de la revue olé-olé de rendre voix au textes, de leur donner corps, et autant que possible matière. D’où l’objet physique que nous vous proposons. Pour l’obtenir, commander la chose à prix libre (+ les frais d’envoi c’est-à-dire 3 balles) à l’adresse électronique : zamdatala@riseup.net.
Le thème, nous le répétons est le nu et nous causons musique (de bruits et de fureur), cinéma porno (l’Abc à Bruxelles), modèle vivant, grève des vêtements en taule (Hafed Benotman), émeutes à Paris en juillet 1893, strip-tease, cinéma (Laissez bronzer les cadavres), arcanes, chaussures à talon, pipi, enfants en cagoule (aquarelles), triturages sonores (Ypaul de Quarse), taxidermie, éjaculation féminine, gendarmerie, Félicien Rops, rêveries cosmiques, travestissement et tant d’autres choses dont vous n’en croirez pas de vos oreilles.
Avec les voix d’Anna d’Annunzio, Lnor, Charlie, Lauren Glaçon, Noël Herpe, Lilith Jaywalker, Perrache, Lyly, Constantin Alexandrakis, Caroline Lemaire, Hope, Wanda, Alain Galan, Milie, Roxane Rtrude, Ian Geay, Louison Asani, Bruno Forzani, Hélène Cattet
Nous espérons que vous apprécierez la chose, malgré ses défauts évidents et que vous vous y retrouverez. Disons qu’elle est à l’image de la revue papier si vous la connaissez. Sa rugosité n’est au final pas si déplaisante. Bonne écoute !
Les âmes d’Atala, et sa division sonore LADA sont heureuses de vous annoncer de nouveau la sortie plus tout à fait tonitruante du premier numéro de la revue finissante et sonore. L’ensemble du dernier numéro d’Amer, sur le nu, a été mis en son, soient 29 pistes enregistrées au format WAV, c’est-à-dire 6 heures 48 minutes et 54 secondes de lectures, musiques, bruits et silences assourdissants. Le tout tient sur une clé de 4 giga. Le résultat est à la hauteur de nos négligences et lacunes, mais il est là. Annoncée quelques jours avant le confinement, sa sortie semble être passée complètement inaperçue puisqu’en quatre mois nous n’avons reçu qu’une seule commande ! Pas grave on est têtu ! On lance sa deuxième sortie juste avant l’été, histoire que vous partiez avec de quoi vous ravir les esgourdes…
Nous avons tenté dans ce numéro un peu spécial de la revue olé-olé de rendre voix au textes, de leur donner corps, et autant que possible matière. D’où l’objet physique que nous vous proposons. Pour l’obtenir, commander la chose à prix libre (+ les frais d’envoi c’est-à-dire 3 balles) à l’adresse électronique : zamdatala@riseup.net. Pour ceusses pour qui c’est important de savoir, c’est cher à la fabrication (de l’ordre de 5 balles), mais l’objet est joli (foutue marchandise !).
Le thème, nous le répétons est le nu et nous causons musique (de bruits et de fureur), cinéma porno (l’Abc à Bruxelles), modèle vivant, grève des vêtements en taule (Hafed Benotman), émeutes à Paris en juillet 1893, strip-tease, cinéma (Laissez bronzer les cadavres), arcanes, chaussures à talon, pipi, enfants en cagoule (aquarelles), triturages sonores (Ypaul de Quarse), taxidermie, éjaculation féminine, gendarmerie, Félicien Rops, rêveries cosmiques, travestissement et tant d’autres choses dont vous n’en croirez pas de vos oreilles.
Avec les voix d’Anna d’Annunzio, Lnor, Charlie, Lauren Glaçon, Noël Herpe, Lilith Jaywalker, Perrache, Lyly, Constantin Alexandrakis, Caroline Lemaire, Hope, Wanda, Alain Galan, Milie, Roxane Rtrude, Ian Geay, Louison Asani, Bruno Forzani, Hélène Cattet
Nous espérons que vous apprécierez la chose, malgré ses défauts évidents et que vous vous y retrouverez. Disons qu’elle est à l’image de la revue papier si vous la connaissez. Sa rugosité n’est au final pas si déplaisante. Bonne écoute !
Ce livre retrace l’histoire du mythique groupe de punk rock bordelais Camera Silens, de leurs débuts dans les années 1980 à nos jours. Pour la première fois, les membres du groupe ainsi que leur manager se confient. Ils évoquent sans détours leurs doutes, les ravages de la dope, leur apolitisme, les instants de complicité et les provocations. Ils reviennent également sur leurs liens avec un public fidèle souvent punk et parfois « destroy » ! Le groupe est devenu culte ! Gilles Bertin, leur leader, a commis de nombreux braquages, a connu de longues années de cavale avant de se rendre à la police et d’être de nouveau libre. Il est décédé en novembre 2019.
Virginie Despentes les écoutait dans les années 1980 et les cite toujours dans ses romans. De Bogota jusqu’au Japon, on entonne leurs chansons comme des hymnes : « Squat », « Identité », « Pour la gloire » sont des refrains sonnant comme des slogans, rebels, crus, violemment tendus.