La faille du Bosphore
Entretiens de Rosie Pinhas-Delpuech par Maxime Maillard sur le métier de traduire et d’écrire
Rosie Pinhas-Delpuech, Maxime Maillard
«Mais, c’est là que comme Orphée, il ne faut pas se retourner, la traduction atteint sa limite et passe le relais à l’écriture. En suivant un écrivain de cette manière, en conjuguant littérature et psychanalyse, en comprenant qu’il ne s’agit pas de combler le trou de la perte, mais de rester devant l’impossible origine, l’impossible identité, l’impossible unité compacte de l’être, on se rend compte que la langue se construit sur du manque, sur ce qu’on ne peut pas dire.»
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30/05/2024