La Tristesse de l’ombre
Annie Lebrun aimait bien Amer. Amer aimait bien Annie Lebrun. Encore une qui se sera dérobée aux pages de la revue finissante, vivante en diable. Elle est partie ce 29 juillet 2024 avant d’avoir lu nos Lunes Décadentes. Nous y offrons une étude à Jean de Palacio, intitulée » La Chute de Séléné « , que nous aurions pu lui dédier puisque nous l’avons intégralement écrite sous son égide et à partir de sa lecture lumineuse du Promontoire du Songe de Victor Hugo. Surtout, nous avons appris d’elle une manière – l’esthétique – d’aborder la littérature, et notamment la littérature fin-de-siècle : Alfred Jarry et son Surmâle, Charles Cros et son Coffret de Santal ou bien encore Raymond Roussel dans Vingt Mille Lieues sous les mots.. Nous lui devons beaucoup, depuis les Châteaux de la subversion. Été funèbre…
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29/07/2024