Les âmes d'Atala

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La petite fille au bout du chemin

La petite fille au bout du chemin - 1

Après la disparition mystérieuse de son père, la jeune Rynn, 13 ans, vit seule dans une grande maison et tente de dissimuler son absence. Mais Frank Hallet, le fils de la propriétaire de la maison, montre clairement de l’intérêt pour Rynn…

Ce scénario adapté par Laird Koenig (Attention les enfants regardent) d’un de ses romans est réalisé par Nicolas Gessner, cinéaste suisse à qui on doit quelques pépites à l’instar de Un milliard dans un billard, La Blonde de Pékin ainsi que le thriller psychologique Quelqu’un derrière la porte. Ici, il signe l’un de ses films les plus vénéneux, qui impose définitivement Jodie Foster, qui vient de finir le tournage de Taxi Driver, comme une actrice promise à un grand succès, ce qu’elle confirmera rapidement.

 

Long-métrage étrange adapté d’un court roman étrange, mélancolique et ensorcelé : quand on regarde La petite fille au bout du chemin, on ne sait pas si on voit un film d’apprentissage, un film d’horreur, un thriller, une amourette adolescente, un film féministe… On ne sait pas ce qu’on voit mais ça nous trouble profondément. Rynn, une fille de 13 ans (jouée par Jodie Foster) vit seule dans une grande maison. Son père est mort mais elle prétend qu’il est toujours en vie. Des gens essaient de lui nuire – en particulier Frank, le fils de la propriétaire (joué par Martin Sheen) et la propriétaire elle-même, Cora, dont elle décide de se débarrasser… Elle rencontre aussi un jeune magicien, Mario, qui veut lui venir en aide. La petite fille au bout du chemin n’est ni L’Attrape cœurs ni Carrie ni Sans famille mais le récit les croise tous et engendre, à son tour, sa propre empreinte et sa propre mythologie. Le genre de film dont on reparle quinze ans plus tard sans avoir encore compris ce qu’il voulait dire.

Pacôme Thiellement

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21/08/2019

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