La vengeance d’un androgame
Après Don Juan des Poules, parodie du Plus Bel Amour de Don Juan (Non Lieu, 2012), Histoire d’une grosse émeraude, éloge du fist-fucking et détournement du Rideau cramoisi (Non Lieu, 2014), Pour l’amour des chats, réinvention du Bonheur dans le crime (Non Lieu, 2016), l’auteur poursuit, ici, son entreprise de donner des « suppléments » aux Diaboliques de Barbey d’Aurevilly. La Vengeance d’une femme transposée au masculin, en un scénario contemporain, il n’est pas interdit de voir, dans La Vengeance d’un Androgame, ponctuée d’allusions à de biens réels faits divers contemporains, une fable – autant cocasse qu’immorale – sur les abus sexuels et l’addiction au sexe des dirigeants politiques de la planète.
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25/06/2019