Lettres d’insultes de l’ami Courtois
Georges Courtois, malfaiteur professionnel
Propos recueillis par Clémence Durand et Ferdinand Cazalis
Il y a 30 ans, le 19 décembre 1985, Georges Courtois, Karim Khalki et Patrick Thiolet prenaient la cour d’assises du Tribunal de Nantes en otage. Revolvers et grenades au poing, ils convoquent les caméras de FR3 pour renverser la vapeur : pendant 34 heures, au lieu d’être condamnés ce jour pour de petits braquages, ils font en direct à la télévision le procès de la société carcérale dans laquelle ils se trouvent piégés.
Préférant la prison pour un mot juste qu’une liberté à demi-mot, Georges Courtois a aujourd’hui 68 ans et habite à Nantes. Il est dehors depuis 2014, et a passé plus de la moitié de sa vie enfermé. Il raconte ici son parcours de malfaiteur professionnel et d’homme de lettres malicieux. Ses mémoires complètes, Aux marches du palais, sont sorties en librairie le 19 novembre 2015 aux éditions du Nouvel Attila.
Le texte Georges Courtois, malfaiteur professionnel est paru dans le numéro 2 de Jef Klak, « Bout d’ficelle », dont le thème est Coudre / En découdre. Vous trouverez une publication en ligne ICI. La version papier de Jef Klak, est quant à elle toujours disponible en librairie. Et vous pouvez Télécharger l’article en PDF.
Consulter ici les lettres d’insultes en PDF.
Pour aller plus loin :
• Les journaux télévisés des 19 et 20 décembre 1985, sur le site de l’INA.
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24/02/2016