Délié
Nous avons supprimé les liens suivants :
Feuille d’automne. (réactualisé depuis)
La Vouivre (n’existe plus).
Le Cabinet de curiosité d’Eric Poindron : le monsieur est bien curieux trônant sur ses cabinets. La formule est facile et cavalière. Comme la position… Nous avons d’abord écrit que le même monsieur demandait des ouvrages en service de presse (autant dire gratuit). Il dit ne demander que des ouvrages en service de presse. Nous actons. Nous avons ensuite écrit qu’il râlait de ne pas les avoir reçus (ayant omis de préciser qu’il avait changé d’adresse). C’est vrai. C’est nous qui avons râlé qu’il ne nous ait pas prévenu du changement d’adresse et d’avoir à envoyer en double ce service de presse. Nous avons dit enfin : pour au final ne pas en dire un mot. Nous pensions avoir eut la berlue. En fait non, nous confirmons. Bref, on vire. Et parce que nous ne sommes pas chiens, nous actualisons l’adresse du site qui avait déménagé.
Non de non : l’aventure est finie ; rabattez-vous sur le blog du Grognard !
billet révisé le 13 février 2012.
8 commentaires pour “Délié”
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7/02/2012
Gaspe ! je comprends, après avoir cliqué sur le premier lien, pourquoi vous l’avez supprimé !
Le blogue du Tenancier Letort a changé d’adresse voici quelques mois. C’est ici, désormais :
http://feuillesd-automne.blogspot.com/
Ah mais, nous savons par nos sources que vos SP sont lus, mais pas par le récipiendaire, semble-t-il. Ils font l’objet de cadeaux.
Pour sa part, le Tenancier a assez reçu de services de presse dans sa vie pour s’en dispenser, désormais En revanche, il accepte quelques jeunes filles faciles. Pour en faire cadeau, naturellement.
Merci pour le lien vers Le Grognard, et je confirme pour Eric Poindron qui m’a fait le même coup à deux reprises, m’invitant à lui envoyer des SP et les ignorant ensuite… Blacklisté pour moi aussi
A ce propos, je me pose une question, tout de même. Pour des maisons d’édition de votre taille, est-il pertinent de distribuer des services de presse ? Après tout, vous pourriez avoir la même position que Champ Libre qui, à l’époque, refusait d’en distribuer, sachant que cela participait à un système quelque peu frelaté, dont Éric Poindron profite sans vergogne à l’heure actuelle. La chose est d’autant curieuse qu’un critique littéraire ne peut lire tout ce qu’il reçoit et que l’achat des livres – même à un prix réduit, pourquoi pas – serait aisément absorbable par les organes de presse qui stipendient ces fameux critiques. Après tout, ces journaux vivent en parlant de ce que vous produisez… quand ils en parlent. Or, malgré tous les efforts des modestes maisons d’édition, leur représentation est minorée dans les revues. Je pense que chaque sous compte et qu’un livre expédié gratuitement se retrouve de toute façon dans le compte d’exploitation d’une manière ou d’une autre. Il semble bien que la distribution de SP représente perte sèche, même pas un investissement…
Pardon pour cette exposition quelque peu décousue, mais je trouve que cela présente un vrai problème pour nombre de maisons d’édition qui sont victimes d’une pratique que les grands groupes peuvent absorber sans problème et ce dans une dynamique libérale.
Mais est-cela que vous désirez ?
Que ces groupes distribuent les SP comme des billets de tombola et qu’il existe des gens qui en profitent ne saurait nous empêcher de dormir. Mais est-il besoin que des maisons comme les vôtres se mettent à en faire autant,agréant un système libéral et des pratiques malsaines dans ce monde de l’édition ? Je n’ai évidemment pas de réponse. Je serais très curieux d’avoir l’avis des Âmes d’Atala et de Monsieur du Grognard…
Pour ma part, j’en ai rien à carrer du SP. Je suis un garçon naïf qui envoie à qui le demande l’Amer, quitte à y être de ma poche. Je signale d’ailleurs que la revue reste gratuite pour les prisonniers et prisonnières, ainsi que pour tous ceux et toutes celles qui n’ont pas le sou ou ne souhaite pas donner d’argent et qui en font la demande. Et c’est une des raisons aussi pour lesquelles je mets la revue en sommeil. Maintenant, si on me demande un SP, c’est – je suppose- pour en parler ! D’où mon étonnement, feint, à défaut d’être fin. Car oui, Monsieur Poindron, je suis grossier en plus d’être naïf. C’est mieux que d’être grossiste.
Pour résumer, je ne suis pas bégueule. J’envoie à qui me demande. Et quand je fais mon enveloppe, j’ai pas l’impression d’envoyer un service de presse, mais juste de partager. Je suis naïf je vous dis. Et plutôt con-tent de l’être encore.
Bien à vous Le Tenancier, et ravi de vous voir fréquenter les lieux, ouverts aux quatre vents.
Même réponse que celle de Ian, à peu de choses près, en ce qui concerne Le Grognard. Nous n’envoyons quasiment pas de SP en tant que tel. Nous faisons par contre régulièrement des échanges entre personnes avec lesquelles on partage des goûts communs (Amer par exemple), mais ces envois ne sont pas faits en vue d’obtenir un article ou quoi que ce soit, c’est juste le plaisir de partager.
Et parallèlement à cela, nous répondons à quelques demandes explicite de recevoir un SP pour en tirer une recesion. Et là, comme Ian, j’ai du mal à admettre qu’on ne donne plus de nouvelles après (qu’on me dise qu’on n’a pas aimé le volume ou que finalement on n’a pas eu le temps de le lire, ou pas apprécié assez pour avoir envie d’en parler, mais le silence radio me laisse perplexe !)
C’est ce qui rend le procédé encore plus odieux à mes yeux, ce silence que je prendrais personnellement pour du mépris sinon plus…
Personnellement, je le prends effectivement, et jusqu’à preuve du contraire, pour du mépris, mais bon… Tout se paye en ce bas monde, service de presse ou pas.