Facial
Dans Pauline ou la liberté de l’amour, Louis Dumur a affublé le mari de l’héroïne d’un prénom, ma foi, complètement désuet : Facial. La bonne idée ! Il nous offre ainsi de savoureux passages comme celui-ci :
« Et heureux d’avoir infligé à sa femme cette leçon de juste milieu, Facial respira, prit son air gai des heures où il était content de lui, s’apaisa dans son triomphe. »
En termes de Facial, il convient toujours de ne pas déraper et de s’accrocher aux virgules.
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24/01/2010