Der Orchideengarten
On parle du Jardin des Orchidées chez les collègues du Visage Vert nom de Dieu…
On parle du Jardin des Orchidées chez les collègues du Visage Vert nom de Dieu…
A ceux et celles qui subissent la chaleur, faites donc un petit détour rafraîchissant par le blog consacré à Jean de Tinan…
Retrouvez l’article de Ian Geay, Que disent ces vers,
sur les liens entre la Révolte des Boxers et le Symbolisme
dans AMER #4…
Les romans qui composent cette anthologie brossent un panorama passionnant de la science-fiction française avant la lettre.
L’irruption des auteurs américains et la création des grandes collections qui vont dominer la scène et populariser le genre ne doivent pas faire oublier l’existence d’une veine francophone de la science-fiction, une école originale, vivante, qui forme un patrimoine littéraire à redécouvrir.
Démontrant une modernité insoupçonnée, les romans et les nouvelles qui composent ce recueil abordent – et parfois inventent – la plupart des thèmes classiques du genre: le contact avec une entité extraterrestre (Les Xipéhuz), le space opera (La Roue fulgurante), la lutte contre des envahisseurs invisibles (Le Péril bleu), la survie d’hommes préhistoriques à notre époque (Les Dieux rouges), la conscience artificielle (Après la grande migration), l’immortalité de l’esprit (Le Peseur d’âmes), la menace de l’extermination (Les Signaux du soleil) ou la domination d’une espèce (L’Apparition des surhommes)…
Sélectionnés parmi des milliers de titres, les romans qui composent cette anthologie brossent un panorama passionnant de la science-fiction avant la lettre.
Broché cousu, avec ses jolis rabats, ses 192 pages et son diable, le voilà :
En vente dans quelques librairies (parisiennes, pour l’heure) et sur le site du Visage vert.
On peut aussi s’abonner et recevoir de très jolis suppléments couleur (strictement réservés aux abonnés, donc !)
L’art de choisir sa maîtresse | |
Benjamin Franklin | |
Textes traduits par Marie Dupin | |
2011 | |
12 x 17 cm | |
112 pages | |
13,50 euros | |
isbn 978-2-912667-95-3 | |
sortie le 24 août 2011
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> Lire les premières pages | |
À propos du livre
Comment choisir sa maîtresse ? Question cruciale s’il en est dans ce domaine où la moindre erreur peut s’avérer fatale… Plein de sagesse, Benjamin Franklin nous fait part de son expérience : il faut la préférer vieille. Il donne d’ailleurs au lecteur incrédule huit excellentes et réjouissantes raisons de suivre son conseil. Drôle, intelligent, décapant, irrévérencieux, Benjamin Franklin, à travers les treize textes rassemblés dans ce volume, semble bien loin de l’image du sérieux rédacteur de la Constitution américaine ou du savant inventeur du paratonnerre. |
Fantaisie, ironie, satire, absurde… les virtuoses de l’humour Belle Epoque sont réunis dans cette anthologie à déguster ligne à ligne. Certains sont incontournables – Alphonse Allais, Alfred Jarry, Jules Renard. D’autres sont oubliés – ce sont pas les moins drôles !
Fumisteries
Naissance de l’humour moderne, 1870-1914
A la fin du XIXe siècle, une bande d’insolents jeunes gens vient secouer l’ordre établi. Ils se donnent comme nom les Vilains Bonshommes, les Zutistes, les Hydropathes, Les Fumistes, les Hirsutes ou les Incohérents, ils fréquentent les alentours du Quartier latin et du Chat Noir montmartrois. Dans leur sillage, un volcan d’inventivité fait éruption, balayant sur son passage les institutions, la famille, l’honorabilité, les poètes officiels – et jusqu’au langage lui-même. Tout est prétexte à fantaisie, parodie, non-sens et sarcasme.
De Xavier Forneret, Erik Satie, Alphonse Allais ou Cami à Gustave Flaubert, Anatole France, Jules Renard en passant par Lautréamont, Jules Laforgue, Léon Bloy, Villiers de l’Isle-Adam ou Alfred Jarry – sans compter une pléiade d’écrivains méconnus ou oubliés – s’expérimente l’humour moderne dans tout ce qu’il a de plus subversif, d’inventif et d’irrespectueux. Les trois cents textes de cette anthologie – récits, contes, poèmes, aphorismes ou saynètes – permettent de retrouver les formes les corrosives d’un rire qui sait prendre des risques.
« Les gendarmes ont grand tort de malmener les criminels. Sans eux, ils n’existeraient pas. » Alphonse Allais
« La mer est remplie d’eau, c’est à n’y rien comprendre. » Erik Satie
Pascal Krupka doit être un homme de défi. Ce danseur a en effet choisi d’adapter pour la scène une nouvelle du recueil de Bruce Bégout, Sphex. Vous pourrez donc si vous vous trouvez du côté de Nantes et que l’idée d’admirer comment se chorégraphie Le Milliardaire marxiste vous excite, aller assister à la représentation qui aura lieu le mercredi 29 juin à 16h au DIX de la Butte Sainte-Anne, 10, place des Garennes. C’est une proposition de Galindo Danse contemporaine.