ACL
Chez notre ami Jean-Marc, Alexandre Jacob, l’honnête cambrioleur , vous pouvez lire une interview d’un autre JM, Jean-Marc Bonnard, membre du canal historique de l’Atelier de Création Libertaire, avec Mimmo Pucciarelli. JMB donc répond aux quextions de JMD, revient sur ce qu’est l’Atelier, son rôle d’initiateur de blogs et nous donne son point de vue sur le monde du livre anarchiste, sur Alexandre Jacob mais encore sur l’actualité. C’est à lire ici. Lire la suite »
Alléluia !
AMER#3
Jeudi 26 novembre 2009, 13h42, livraison de 120kg d’Amer, revue finissante, 3ème opération. Dès à présent disponible (Pour Lille, librairie l’Harmattan, rue basse, vxl).
Histoires hétéroclites
HISTOIRES HETEROCLITES
sortie prévue le 15 décembre 2009
Edité par les Ames d’Atala : Histoires hétéroclites, suivi du Destructeur . Ces textes de Remy de Gourmont, réunis par Ch. Buat & M. Lugan, — et postfacés par ce dernier, — ont pour commun d’avoir connu une édition pré-originale, journal ou revue, et de n’avoir jamais été, — à quelques exceptions près, — recueillis par la suite. L’ordre suivi est chronologique, sauf pour sept textes révélés être les chapitres d’un roman inédit, — et incomplet : le Destructeur.
Du coeur à l'ouvrage
Amer#3
consacré au coeur
sortie prévue : toute fin novembre
à l’heure où l’on meurt.
Figures littéraires de la cathédrale 1880-1918
Le nouveau Robert Ziegler
Asymptote.
An Approach to Decadent Fiction.
Robert Ziegler
Amsterdam/New York : Rodopi, coll. « Faux-titre », 2009
262 pp.
EAN : 9789042027008
€ 52 / US$ 78
Présentation de l’éditeur :
Asymptote: An Approach to Decadent Fiction offers a radically new approach to the psychology of Decadent creation. Rejecting traditional arguments that Decadence is a celebration of deviance and exhaustion, this study presents the fin-de-siecle novel as a transformative process, a quest for health. By allowing the writer to project into fiction unwanted traits and destructive tendencies – by permitting the playful invention of provisional identities –, Decadent creation itself becomes a dynamic act of creative regeneration.
In describing the interrelationship of Decadent authors and their fictions, Asymptote uses the mathematical figure of the asymptote to show how they converge, then split apart, and grow distant. The author’s approach to the facsimile selves he plays with and discards is the curve that never merges with his authorial identity.
In successive chapters, this study describes the Decadents’ experimentation with perversion (Huysmans’s A rebours and Mendes’s Zo’har), and their subsequent validation of social regulation and creative discipline. It examines magic and its appeal to fantasies of elitism and omnipotence (Péladan’s Le Vice supreme and Villiers’s Axël ), then shows authors embracing the values of community and service. It considers the Decadent text as a vehicle of change in which an artist ventilates fantasies of aggression and revenge (Mirbeau’s Le Journal d’une femme de chamber and Rachilde’s La Marquise de Sade) then employs writing as the means by which these feelings are discharged. It examines creation as a form of play, “une aliénation grâce à laquelle l’esprit se récupère sous la forme des autres” (Schwob’s Vies imaginaries and Lorrain’s Histoires de masques), yet notes the Decadents’ decision to return to a single generative center. Finally, it examines creation as an expression of artistic transience and failure, yet shows the Decadents’ success in commemorating the very forces of disintegration (Rodenbach’s L’Art en exil). In considering the Decadents’ insistence on subjectivism and aloneness, this study concludes (Gourmont’s Sixtine) by showing their wish to escape the prison of identity and to redefine their art as cooperative creation. Lire la suite »
Félix Fénéon
Parution : 17/11/2009
ISBN : 978-2-9163-9011-6 432 pages 11 x 17 cm 28.00 euros |
Félix Fénéon
Nouvelles en trois lignes
Couverture sous jaquette-index, « Abattoir à Zingueur »
On a le plus souvent présenté Fénéon – celui qui « silence » écrivait Jarry – comme un personnage énigmatique, aux aspects multiples et indéchiffrables. À la complexité de son caractère s’ajoutait le personnage mystérieux qu’il se plaisait à jouer. Il correspondait à l’image du dandy tracée par Baudelaire, dont il connaissait les œuvres presque par cœur. À partir de 1883, date de sa première publication, Fénéon participa activement aux trois mouvements qui bouleversaient l’art et la société – l’impressionnisme, le symbolisme et l’anarchisme – montrant que ces mouvements si différents étaient animés par un commun idéal, celui de libérer l’individu de toute contrainte, qu’elle fut artistique ou sociale.
Pendant une vingtaine d’années il collabora à quantité de revues, parmi lesquelles La libre revue, L’en-dehors et La revue blanche, dont il fut le rédacteur en chef de 1896 à 1903. F.F. entra au Matin en mai 1906. « Seul journal français recevant par fils spéciaux les dernières nouvelles du monde entier », Le Matin publiait une rubrique de faits divers, « Nouvelles en trois lignes » depuis 1905. C’est dans cet elliptique condensé de faits divers que l’anarchisme de Fénéon s’exprime sans doute le mieux, en inventoriant sans indignation ni commentaire, juste la distance de l’ironie, les morts de misère, les guillotinés, les suicides dans l’armée, les ridicules ecclésiastiques, laïques et républicains. |